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3 décembre 2014 3 03 /12 /décembre /2014 12:57
CENTRE LOGISTIQUE_ ST NAZAIRE_ 2014, photo prise par ARRB, AURELIEN BONNETAUD

CENTRE LOGISTIQUE_ ST NAZAIRE_ 2014, photo prise par ARRB, AURELIEN BONNETAUD

3 décembre 2014 3 03 /12 /décembre /2014 12:38
BARRIERE BETON_ROUEN_2014, photo par ARRB, AURELIEN BONNETAUD

BARRIERE BETON_ROUEN_2014, photo par ARRB, AURELIEN BONNETAUD

3 décembre 2014 3 03 /12 /décembre /2014 12:12
VIADUC_ROUEN_2014, photo prise par ARRB, AURELIEN BONNETAUD

VIADUC_ROUEN_2014, photo prise par ARRB, AURELIEN BONNETAUD

28 novembre 2014 5 28 /11 /novembre /2014 19:03

Bon allez, du son là !!! Groupe decouvert avec les aleas de You T***. Bonne decouverte je trouve. ça passe bien, frais, rock n roll, hip hop... 70's & 2010's. Ouai, bref, bon melange. The sound defects, iron horse

 

 

                                

 

28 novembre 2014 5 28 /11 /novembre /2014 19:00

Nature, civilisation. Exterieur, interieur. Un theme parlant mis en oeuvre par cet artiste probablement danois. En resulte une oeuvre monumentale simple et efficace

 

http://www.perkristiannygaard.com/index.htm

 

coline-verte-gallerie-01-1080x720.jpg

26 novembre 2014 3 26 /11 /novembre /2014 11:45

C'est fun, un artiste qui fait du detournement d'objet urbains pour leur donner un autre sens, souvent absurde.

 

 

http://www.boumbang.com/toni-spyra/

 

http://www.boumbang.com/wp-content/uploads/2014/11/Toni-Spyra-11-540x355.jpg

 

25 novembre 2014 2 25 /11 /novembre /2014 11:38

Là, on tape dans la musique sombre de chez sombre. De la depression mise en mouvement en quelque sorte.

HTRK, pour Hate Rock, est un groupe de rock australien qui respire bon le soleil.

L'un des membres fondateurs du groupe fut retrouvé mort dans sa chambre d'hotel, suite à suicide. Pas de triche ... Paix à son ame. Joyeux drilles façon Joy division et autres Velvet underground donc; reste que leur musique est à mon gout, emprunte de beauté, de modernité et de puissance. Une expression authentique. Une sorte de voyage dans la douleur et le desespoir, rythmé par des riffs lourds et des percussions entetantes, musique lente porté par la voix désabusée de la chanteuse, l'album "Marry me tonight" vaut son pesant de ... [completer au choix]

 

Voici un fan-clip de leur morceau "HA", illustré par une scene du Cremaster3 , film trippant de Matthew Barney. Bon choix, evocateur.

 

 

                                

 

 

 

                                 

 

25 novembre 2014 2 25 /11 /novembre /2014 11:33

Un jeu de collage sur des visages. Superposition de couches, interpolation d'images.

A mon avis, sans être vraiment originale, cette série de collages vaut bien un coup d'oeil.

 

 

 

http://www.laboiteverte.fr/les-collages-et-animations-de-matthieu-bourel

 

 

 

http://www.laboiteverte.fr/wp-content/uploads/2014/11/collage-animation-01.jpg

 

23 novembre 2014 7 23 /11 /novembre /2014 19:20

Je me suis senti d'humeur litteraire aujourd'hui ..

 

Voici une nouvelle :

 

MARATHOn

 

Finir. Finir. Tenir pour finir. Il était à bout de souffle, et l’acide lui brulait les veines, transpirant à grosses  gouttes. Cette course, c’était sa vie pensait-il. Elle justifiait sa vie. Il pourrait annoncer la nouvelle au roi, la victoire de tout un peuple. L’ennemi terrassé. Foudroyante victoire.

 

Ce fut un carnage. Les Perses déferlaient par vagues, se brisant sur des murailles de soldats Athéniens. La plage était rouge, parsemée de cadavres livides et indissociables. Les généraux, fins stratèges, avaient fait du bon ouvrage. Darius le perse, avait décidé de mener une expédition punitive afin de manifester la puissance de son empire à la face du monde. De lourds bâtiments de guerre voguaient vers les cotes Grecques, sombres silhouettes se dessinant en grappe sur l’horizon. On aurait pu en compter mille. Le peuple Marathonien guettait ses prédateurs avec inquiétude, conscient de l’issu sordide de leur rencontre.

 

L’envahisseur était puissant, massif et lourdement armé. Leur science de la guerre avait ses preuves. De son coté, le peuple grec était fier et opiniâtre. A la nouvelle de la menace, les Athéniens et les Platéens levèrent leurs armées composées des plus féroces de leurs hoplites. Plus de dix mille guerriers, toutes milices confondues. A cela il fallait ajouter quelques machines de guerre,  la connaissance du terrain et la bienveillance de leurs dieux. Une fois de plus l’ennemi était aux portes, une fois de plus ils résisteraient. Ainsi  se répète l’histoire.

 

 Lorsque les proues des navires perses entaillèrent le sable, la confrontation fut instantanée. Les troupes d’archers en avant-postes décochèrent des salves de flèches incandescentes, produisant une pluie de feu dévastatrice. Cris et fureur. Les balistes perses rétorquèrent, emportant quelques vies. Autre salve, autres salves. Les guerriers aux sabres courbes, vêtus de noir, progressaient rapidement, plus motivés par la rage et l’ivresse de victoire que par la peur. Agiles, ils chaloupaient en direction de la ville, zigzaguant de couverts en couverts. Ils s’agissaient là de troupes d’élites, destinées à dégager le terrain en éclaireurs. En retrait, les archers et les balistes de Darius arrosaient la plage, couvrant leur avancée. Ils étaient nombreux. Très nombreux. Beaucoup plus nombreux que les grecs. Au loin on pouvait apercevoir la masse des fantassins se déployer, et avancer lentement, portant de fins boucliers d’ébène.

 

 A leur suite la cavalerie lourde, chevauchant des pur-sang rapides comme le vent.

 

L’ancien monde était bien au courant de la réputation des cavaliers perses. On les prétendait sans peur et sans pitié, capables de manier le sabre avec une dextérité hors pair. La rumeur les disait capables de décapiter trois soldats d’un seul geste. Ce fut maintes fois vérifié.

Mais l’intelligence athénienne elle aussi avait bonne réputation. Quelques uns d’entre eux avaient même combattu avec les perses, à une époque révolue où les deux peuples avaient encore des intérêts communs. Les généraux grecs  firent bon usage de leurs connaissances en parsemant des pieux effilés sur plusieurs kilomètres de plage, comptant ainsi priver l’adversaire de sa vélocité. Le bois des pieux fut peint en blanc, de sorte de l’ennemi ne put se rendre compte à distance du piège qui lui était tendu. Cette astuce permit aux grecs de prendre un avantage certain dès le prologue de la bataille.

Les éclaireurs perses avaient maintenant atteint les troupes postées au milieu de la plage, et commençaient à éclaircir significativement les rangs. Dans quelques minutes, le reste des troupes adverses arriverait aussi à leur hauteur et décimerait les grecs bataillons par bataillons.

Les avant-postes étaient perdus, Hadès allait accueillir les nouveaux arrivants à bras ouverts. Pour la plupart, il s’agissait d’esclaves récemment libérés. Puissent-ils trouver dans la mort la gloire qu’ils ne connurent pas durant leurs vies.

 

Les athéniens avaient fait prévenir les redoutables spartiates par un messager, afin de demander  renfort devant cet adversaire commun. Ils arriveraient après la pleine lune marquant la fin des karneia. Leur arrivée n’était donc pas imminente, quelques jours durant lesquels il faudrait tenir la position.

Les spartiates sont des brutes inhumaines, peuple psychopathe élevé dans le but de tuer et de mourir,  qu’il  vaut mieux ne  côtoyer qu’à l’ occasion de batailles. Lorsqu’ils sont en position d’alliés.  Les spartiates feraient la différence, ne laissant derrière eux que mort et désolation.

 

 Le vrombissement d’un cor se fit entendre, précédant un mouvement de repli pour l’arrière garde de l’alliance grecque qui campa une nouvelle position permettant de maintenir l’armée perse à distance, sans pour autant se mettre en péril. Cette manœuvre eu pour effet de remettre en cause la stratégie martiale de l’armée de Darius qui, privée de sa cavalerie, ne savait plus quelle tactique déployer. L’élan vindicatif fut donc brisé, remplacé par une prudence défensive. Les perses étaient au moins deux fois plus nombreux, et la supériorité numérique synonyme de victoire. A quoi bon se précipiter ?

 

Les deux armées campèrent donc sur leurs positions respectives, se faisant face  sur une plage de sable  empourpré. On pouvait à nouveau entendre le bruit des vagues.

Une nuit passa, puis une autre. Et encore une autre. Une attente interminable. Au cours de ces longues journées, chacun jaugeait l’autre, envoyait des éclaireurs ou des espions, sans pour autant savoir si le moment de lancer une attaque massive était venu.

 

Vus de l’extérieur, les perses plus nombreux auraient pu écraser la phalange grecque en provoquant une bataille rangée. La force du nombre aurait pu inonder les opposants, les cavaliers contourner la bataille et prendre l’ennemi à revers, et ce serait la fin des grecs. L’empire s’étendrait à nouveau.

Cependant, il était impossible de déployer la cavalerie et les troupes d’élite. Le reste de l’armée, bien que forte en nombre, était composé d’hommes non fédérés, amenés ici en grande majorité contre leurs grés.  Ils n’avaient reçu aucune formation guerrière, partis à la hâte. Ils ne pouvaient communiquer entre eux faute d’un langage commun, et ne servaient au fond qu’a couvrir les troupes d’élites, qui elles, précieuses, feraient des ravages. Mais l’ennemi grec n’était pas à sous estimé. Les deux peuples se connaissaient bien, force et faiblesse. Chaque hoplite entrainé à tuer et lourdement armé valait au moins trente paysans.

 

L’attente se prolongea donc. A l’aube du cinquième jour, les espions perses rapportèrent la rumeur d’un mouvement massif de guerriers spartiates aperçu à deux jours de marche du champ de bataille. Si ceux là parvenaient à rejoindre les athéniens, le sort de la bataille était scellé. La cavalerie était bloquée dans les navires et pourtant il fallait agir ou partir. L’idée humiliante de la retraite ne fut pas du gout des généraux. Une preuve de lâcheté de cette sorte pourrait résonner au quatre coin de l’empire et mettre à mal l’autorité de Darius.

Les perses avait alors pour unique atout leurs archers. Nombreux et précis, ils pourraient décimer les fantassins adverses. La nuit couvrait encore la plage et l’avancée silencieuse des archers. Ils se positionnèrent à portée de tir. Ils décocheraient en batterie, de façon à noyer l’ennemi sous un flot de traits mortels. Les soldats de mêlée se tenaient devant eux, prêts à contenir l’assaut de riposte grecque.

 

Les oiseaux ne chantaient pas encore ce matin là, pourtant un sifflement se fit soudainement entendre dans le camp athénien, aussitôt suivi de hurlements. Les flèches s’abattaient en pluie continue, cadencée, faisant chuter les hoplites les moins éveillés. Protégé par de lourdes armures, le reste des troupes se mit en mouvement.

 

Les premières minutes furent effroyables. Un réel carnage, comme l’histoire humaine en connu tant.

La vague de surprise étant passée, les guerriers perses virent des ombres se dessiner dans les ténèbres. Ils pouvaient deviner les visages écumants des hoplites, semblables à des chiens enragés. Le sifflement des flèches fut supplanté par le bruit métallique des glaives et des lances ricochant sur les boucliers ou tranchant les chairs. Et encore des cris. Hurlement de rage, de douleur, de tristesse. De joie et d’exaltation parfois. L’humanité dans son animalité la plus profonde. Vivre ou mourir. Etre à tour de rôle proie et prédateur. Sanglant dilemme. Relatif.

 

Les lignes de fantassins perses furent fracassées, devenant jouets du destin. Les athéniens frénétiques ne firent pas dans la philosophie, ni dans la pitié. Portés par le souffle d’Arès, gonflés par la haine, ils décimèrent rang après rang leurs adversaires terrifiés. Pauvres hères.

Les archers continuaient à décocher leurs flèches sans sourciller, vidant peu à peu leurs carquois. Qu’importe qu’ils pussent abattre d’autres perses. Les ordres étaient de tirer dans le tas,  et d’abattre autant de grecs que possible. Mais ils commençaient à sentir que la mêlée allait bientôt percer les remparts humains qui jusque là les protégeaient. Ils voyaient bien leurs compatriotes affolés s’enfuir en courant, terrassés par cette démonstration militaire.

Oui, les hoplites étaient redoutables, difficiles à vaincre, et terrifiants. Les rangs protecteurs s’étant disloqués, les archers commencèrent à voir le résultat du choc. Des corps ensanglantés, des corps inanimés, des bouts de corps, des corps agonisants, plus rien de sensé. Et du sang répandu à profusion.

 

L’ennemi continuait à avancer. Certains archers, à court de flèches, avaient déjà dégainé leurs sabres, en l’attente d’un combat qui semblait désormais inévitable. D’autres commençaient déjà à reculer, cherchant un moyen de retourner au plus vite sur leurs navires, attendant dans un espoir fébrile l’ordre de retraite et de reddition. Ils n’étaient que légèrement protégés par leurs armures et se savaient allant vers une mort certaine. Les troupes grecques avaient su les encercler, les attaquant par les flancs. L’armée perse se retrouvait piégée entre les mâchoires d’une tenaille qui allait tout réduire en miette. La bataille était perdue.

 

En dépit des vociférations du quartier général, les troupes se dispersèrent, lâchant les armes pour pouvoir rejoindre au plus vite la coque protectrice des trières restées accostées à proximité de la plage, ou nager au loin pour tenter la chance. Le reste de la flotte, déjà en mer, amorçait un demi-tour synonyme de répit.

 

Les guerriers grecs avaient soif de sang, et voulaient massacrer jusqu’au dernier perse de la plage. Le combat s’acheva les pieds dans l’eau.

 

 Il n’y eut pas de prisonniers ce jour là, mais une gloire légendaire.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 11:51

La serie continue ...

 

 

skate-park.jpg

 

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15 novembre 2014 6 15 /11 /novembre /2014 11:41

Aie Aie, je n'ai pas trop le temps d'entretenir mon blog ces derniers temps...

Mais bon, je vais m'y atteller, en commencant pr vous presenter unje video sympa.

Réalisée par F.Doazan et 12 fps il me semble.

La video traite de l'image des femmes la chirurgie esthetique, tout ça...

Un bon charcutage live. C'est marrant et bien fait.

Et bon, c'est vrai que l'abus de botox et compagnie peut faire des ravages deshumanisants.

 

Vous la trouverez sur cette page (impossible de l'integrer directos) :

 

http://clipiki.ru/video/264903/K%C4%B1sa-Film-Supervenus-ZHestkovatyiy-rolik-%C2%ABSuperzhenschina%C2%BB

 

 

supervenus.superbanner.jpg

 

24 septembre 2014 3 24 /09 /septembre /2014 11:50

Mes vacances, ce fut une ballade de santé.

 

Je me suis amusé à explorer toute les friches et lieux abandonnés qui ce sont présentés à moi... Il y en a des masses.

Avez vous-deja essayé d'arpenter de tels lieux ? Contrairement à ce que l'on pourrait penser, c'est trés poetique, et pas necessairement craignos.

On croise d'autres gens. Des promeneurs, des graffeurs, des joueurs de paintball ... J'ai jamais vu de junkies ou quoi... Aussi, c'est une manière d'acceder à des infrastructure que l'on aurait jamais pu voir du temps de leur fonctionnalité. Des usines chimique, des bureaux quasiment laissés tels quels, maintenant ponctués de destructions en tout genre.

j'ai même visité un centre de telecommunication satellite. Interessant de se retrouver perché sur une antenne parabolique de 30 m de large.

Bref, voila, c'était mes vacances. Et j'ai fait quelques belles photos...

 

 

mr-brico-copie-1.jpg

5 août 2014 2 05 /08 /août /2014 12:13

Les gifs animés sont vraiment un bon moyen d'expression, le systeme de boucles infinies est fascinant... Cet artiste exploite ce support en se demultipliant en une masse de clones ou autres effet lumineux et geometriques. Graphique, esthetique et captivant..

 

voir http://erdalinci.tumblr.com/

 

http://www.laboiteverte.fr/wp-content/uploads/2014/08/gif-clone-03.gif

4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 13:00

Comment transformer un panneau publicitaire en une intervention artistique :

 

 

 

                   

 

 

4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 12:54

Detroit est une ville americaine reputée entre autre pour son declin... Place forte de l'industrie il y a quelques decennies, celle ci a vu son activité deserter, les lieux etre fermés, puis laissés à l'abandon. Ainsi, Detroit pulule de friches en tous genre. Un collectif d'exploration urbaine, Urbex, dresse un état des lieux photographique. Interessant : le mélange de photo confrontant l'activité passé a l'abandon actuel.

Pour etre plus clair, jetez un oeil au site : http://detroiturbex.com

 

http://www.boumbang.com/wp-content/uploads/2013/02/Detroit-Urbex-2-540x360.jpg

 

http://www.boumbang.com/wp-content/uploads/2013/02/Detroit-Urbex-14-540x360.jpg

1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 07:17
DEPOT SNCF_LILLE_2014, photo prise par ARRB,A.BONNETAUD

DEPOT SNCF_LILLE_2014, photo prise par ARRB,A.BONNETAUD

1 juillet 2014 2 01 /07 /juillet /2014 07:09
DEPOTOIR_LILLE-2014, photo prise par ARRB,A.BONNETAUD

DEPOTOIR_LILLE-2014, photo prise par ARRB,A.BONNETAUD

19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 14:42

Diantre, comme c'est etrange....

Sculpteur hyperréaliste, et surealiste, tony matelli manie pour le moins le sens de la derision, de l'absurde et de l'ironie..

Je vous laisse decouvrir :

http://www.tonymatelli.com/

 

http://www.tonymatelli.com/images/blocks_image_10_1-11.jpg

15 juin 2014 7 15 /06 /juin /2014 19:01

Clip terrible, mélange de naiveté et de douleur, une musique douce pour aborder un sujet sensible

 

 

            

 

13 juin 2014 5 13 /06 /juin /2014 12:08

Ingenieux !!! Un gars a mis au point un systeme pour traduire en musique les "cernes"  a l'interieur des arbres ( les anneaux qui donnent leur age ... je sais pas le nom). C'est expliqué dans un article :

 

http://www.espritsciencemetaphysiques.com/arbre-tourne-disque/

 

 

                  

 

 

10 juin 2014 2 10 /06 /juin /2014 11:29

rail.jpg

 

Voici une image que je prépare...

 

Avant d'en faire un tableau, je teste l'image sur ordinateur, numeriquement. Quand ça me plait, je prends les pinceaux.

En ce moment, j'en prépare pas mal. J'ai changé ma technique de peinture. A l'huile et verticalement. Tout le contraire de ma technique habituelle. ça fais un gros changement, mais c'est nettement mieux. Je commence à comprendre.

 

Par contre, ça prends du temps. Ne serait ce que le temps de sechage decuplé par l'huile. Et parfois j'ai l'impression de patauger. Avoir de bonne teintes, de bons contrastes, trouver un equilibre dans tout ça.

Alors, je fais aussi des petits formats, histoire de savoir ou je vais, plutot que de perdre des mois à chercher quoi faire sur ma toile...

 

Je me pose des interrogations formelles  ...

Un ciel blanc est il plus interessant dans mes tableaux qu'un ciel trés texturé ? Quel esprit poser dans ces paysages ? Quels contrastes? A quel point jouer entre le mélange photo et peinture ? Comment rendre graphique un chaos apparent ?

 

Trop de desordre rend l'image illisible, trop d'ordre elimine la vraisemblance et rends le tout sans interet...

 

Voila ce a quoi je reflechis

5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 10:55

Fanzine visuel et litteraire, à decouvrir.

Participations bienvenues

 

 

http://lacorbeille.blogspot.fr/

 

 

 

http://2.bp.blogspot.com/-vGgYOebczps/U5A2c97FVII/AAAAAAAAA9I/J7P9OhzEqu4/s1600/jack.jpg

28 mai 2014 3 28 /05 /mai /2014 09:24

Matin electro cool ...

Il y a quelques temps, j'ai commence à ecouter un musicien anglais, Daniel Avery, qui produit un genre d'acid minimaliste, musique electro, techno, je ne sais quoi... Ah, j'accroche bien à ce genre de sons... C'est dynamique mais soft avec des sonorités bien plaisantes. De l' Acid, quoi. Et ça me donne envie de bouger. J'ai entendu ça  en soirée, et j'ai tout de suite cherché à savoir de qui c'était. Daniel avery, Drone logic, m'a repondu le DJ.

 

Vous pouvez ecouter son album, Drone Logic, dont voici un extrait :

 

 

 

 

Sinon, les DJ étant ce qu'ils sont, il arrive qu'ils fassent des sets ou il ne jouent pas leurs propres morceaux, mais "mixent" ceux des autres. Généralement appelé DJ set. Et bien Avery en à fait un à la Fabric London, en 2013. Il dure 3 heures, est telechargeable gratos, et s'ecoute avec plaisir. Il y a un coté beaucoup plus pop dans le set.

 

Deja, au bout de 5. minutes, première chanson qui cartonne. bonne ambiance, bonne parole, bonne voix..

Cette chanson en particulier, impossible de savoir de qui est ce morceau. Si jamais vous, chers amis qui lisez cet article, connaissez le groupe ou le titre de cette chanson faites le moi savoir s'il vous plait.

 

Voila. Bonne ecoute

 

 

SET LIVE :  https://soundcloud.com/platform/daniel-avery-boiler-room-mix

                                       

 

                                           

 

27 mai 2014 2 27 /05 /mai /2014 09:30

Propose des photos suréalistes, issues de mises en situation absurdes incarnées par une troupe de personnages etranges, la troupe de la chauve souris. Duo prolifique. Beaucoup de projets et de visuels.

Site : http://kahnselesnick.biz/

 

 

 

 

 

 

 

 

Kahn et Selesnick
Kahn et Selesnick
14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 17:46

Presenter des sculptures sous l'eau... L'idée est bonne, originale. un artiste nommé Jason de caires taylor, propose ça.Et il y a là dedans de la suite dans les idées. Il n'exploite pas que le coté contemplatif de la chose. Ses sculptures ne sont pas des repliques de sculptures anciennes, type greco romaine par exemple. Non. Il y a des foules de gens modernes, des postures, des compositions, des citations, qui amenent à voir autre chose. Que je vous laisse decouvrir par vous même. Il est aussi interessant noter comme l'aleatoire lié à la faune/flore maritime est integre à ce travail, de maniére symboitique... A voir ( en vrai, ça doit être terrible...)

 

http://www.underwatersculpture.com/

 

           silent evolution 001 jason-decaires-taylor sculpture

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Ce blog porte sur les choses ayant trait à l'art, à la création, et à la culture en general.

Etant donné que je suis artiste, vous trouverez ici des informations concernant ma pratique, mes actualités, mes reflexions.

j'y poste également des articles sur ce qui me marque :  la musique, la video, les livres, les expos, les travaux d'autres artistes...

Enfin, j'y dépose aussi quelques notes et mementos théoriques, ou résumés d'ouvrage que j'ai étudié.

Vous pouvez également suivre sur Instagram : arrb_creation

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